« La fièvre était tombée, il avait donc évacué les toxines. Mais il était encore un peu enflé à la mâchoire, en apposant des compresses froides dessus, ça l’a fait diminuer. J’ai décidé d’essayer.
Connaissant l’histoire, j’y ai été doucement lors du réchauffement, je ne voulais pas le pousser à fond. Il allait bien, mais n’était pas au meilleur de sa forme. Ce qui est normal vu la veille.
J’ai beaucoup marché avec lui pour lui sauver de l’énergie. »
« Mais quand je suis entrée, j’ai senti qu’il donnait tout ce qu’il pouvait, et comme il est un battant, il n’abandonne jamais. Pour le protéger, j’ai abandonné. Mon complice, mon ami, le cheval qui a toujours tout donné pour moi, sa vie ne mérite pas ça. Alors, j’ai salué et quitté la piste. »