Fluor : une revue médicale américaine reconnaît sa neurotoxicité
Désormais on ne pourra plus dire : « c’est faux » ou « nous ne savions pas ». N’hésitez pas à imprimer cet article et à le donner à votre médecin généraliste (ou au pédiatre, il y en a qui n’hésitent pas à prescrire du fluor en gouttes aux enfants avec la vitamine D… ) et à votre dentiste qui ne saura pas quoi dire car le cryolithe, c’est son fond de commerce.
Ces mêmes personnes qui nous conseillent depuis des décennies de prendre du fluor pour la santé dentaire vont être écœurées .
Encore une fois, ils se sont trompés. Parfois , les arguments les plus simples sont les plus efficaces. Notez bien que la revue médicale The Lancet est l’une des plus prestigieuses au monde, cette étude sur le sujet est donc très sérieuse. Guy Fawkes
Fluor: effets neurocomportementaux de la toxicité développementale
Handicaps du développement neurologique, y compris l’autisme, trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité, dyslexie et autres troubles cognitifs affectent des millions d’enfants à travers le monde et certains diagnostics semblent augmenter en fréquence.
Ces maladies sont en partie dues aux produits chimiques industriels qui endommagent le cerveau en développement. En 2006, un examen systématique a été et on a identifié cinq produits chimiques industriels neurotoxiques : le plomb, le méthylmercure, les polychlorobiphényles, l’arsenic et le toluène.
Depuis 2006, des études épidémiologiques ont mis en évidence six autres neurotoxiques: le manganèse, le fluor, le chlorpyrifos, le dichlorodiphényltrichloroéthane (DDT), le tétrachloroéthylène, et les polybromodiphényléthers. Bien sûr, il reste encore d’autres neurotoxiques à découvrir. Pour contrôler la pandémie de neurotoxicité développementale, nous proposons une stratégie globale de prévention.
Les produits chimiques non testés ne doivent pas être présumés sans danger pour le développement du cerveau. Il faut tester tous les nouveaux produits chimiques pour la neurotoxicité développementale.
• Department of Environmental Medicine, University of Southern Denmark, Odense, Denmark
• Department of Environmental Health, Harvard School of Public Health, Boston, MA, USA
• Icahn School of Medicine at Mount Sinai, New York, NY, USA
• The Lancet Neurology, Volume 13, Issue 3, Pages 330 – 338, March 2014 doi:10.1016/S1474-4422(13)70278-3
Source The Lancet (Abstract) (Revue complète) – Traduction Fawkes News